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Bienvenue sur le site de l'escadron 131st VFS 'Death Vipers', unité virtuelle évoluant sur le simulateur DCS World

Deux ans d'ingénierie spatiale.


3 réponses à ce sujet

#1

White-sky

    Nobilium vulgari

  • Lieutenant Colonel
  • Moniteur KA-50

Posté 14 janvier 2017 - 10:27

EH ouais, ça fait deux ans que je joue à Space engineers !

Pour ceux qui ne connaissent pas, vous devriez essayer, ça fait bien passer le temps !

DU coup après avoir achevé un dernier ptit vaisseau, je me suis dit... tiens si je faisais un diapo des vaisseaux que j'ai construits depuis le début, y seraient contents au 131St hein ? Hein ? HEIN !

Voilà z'êtes contents. Je vous mets que les gros vaisseaux, les petits y'en a trop, faut pas m'en vouloir de vous imposer tout ça, juste ça m'a fait marrer. Pour ceux qui connaissent le jeu, tous son survival ready, sauf le premier. Du coup je me la ferme et place au diapo, du plus moche au moins laid (par ordre chronologique).

Mon premier : Le Sh-31 (Décommissionné en cible de tir)

Appareil particulièrement laid et peu fonctionnel, il ravira les amateurs de tas de ferraille. Masse 18 000 T.

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Le second échec : Le Fv-74 (Croiseur lourd)

Le FV-74 est la seconde tentative des chantiers Michel-Corp pour répondre à l'appel d'offre de l'amirauté pour un Croiseur de bataille. Bien que plein de promesse avec l'introduction d'un RailGun par gravité tirant un projectile de 50 T, il s'avèrera peu résistant, lent (45 000 T), et inadapté au service.

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Le renouveau : La Frégate Austerlitz

L'Austerlitz constitue la revanche des chantiers Michel-Corp sur ses échecs passés. Se débarrassant de ses mauvais éléments, L'astroneur livre ici cette Frégate alliant haut standing avec puissance de feu, vitesse, et manoeuvrabilité. Son principal défaut étant son absence totale de blindage, lui conférant une masse en ordre de combat de 12 000 T. Elle dispose, comme tous les grands bâtiments de ligne produits par nos chantiers, d'un RailGun par gravité, ici un modèle tirant une ogive de 350 T à 1500 m/s.

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Le premier grand : Le Cuirassé Richelieu

Le Cuirassé Richelieu est le bâtiment le plus lourd jamais conçu par les chantiers Michel-Corp. Accusant quelques 90 000 T en ordre de combat, il mesure quelques 340 m de long, est capable d'embarquer 42 chasseurs type XV-82S, possède un RailGun par gravité de 180 G pour une ogive de 850 T. Il n'en demeure pas moins extrèmement rapide, ceci grâce à sa propulsion par gravité qui lui assure, combiné à son blindage triple espacé, une survivabilité optimale même en cas de perte de l'ensemble de ses propulseurs, et de 43 de ses 44 Réacteurs nucléaires.

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Une idée de la taille, l'ingénieur en chef Nicolas Michel pose au dessus de la batterie de proue :

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Page suivante : l'entrée dans l'ère moderne.
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#2

White-sky

    Nobilium vulgari

  • Lieutenant Colonel
  • Moniteur KA-50

Posté 14 janvier 2017 - 10:39

Le marché pour un Cuirassé lourd remporté, les chantiers Michel-Corp s'attèlent dés lors à s'emparer du secteur très prisé des bâtiments intermédiaires, ceci grâce à un trio de trois patrouilleurs.

Le plus sournoi : le torpilleur Marengo.

Le Marengo est le premier bâtiment intermédiaire à être proposé par Michel-Corp. Il allie vitesse, manoeuvrabilité, et robustesse grâce à son blindage espacé. D'une masse en ordre de combat de 9 000 T, il dispose d'une torpille SU-Pos124 qu'il peut larguer sur tout bâtiment s'aventurant dans le territoire de l'Amirauté.

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Le plus rapide : L'escorteur Wagram

Le Wagram a pour rôle principal d'assurer l'escorte de bâtiments plus lourds, type Richelieu ou Iena (voir page suivante) et d'en assurer le ravitaillement. Ne disposant pas d'armement fixe, il se repose sur des tourelles de 50 et 230 mm pour s'assurer la victoire. Il ne dispose pas d'un blindage particulièrement évolué, mais du fait de son faible coût, lié en partie à sa masse de seulement 6 000 T, il est utilisable en grand nombre.

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Le plus brutal : Le patrouilleur lourd Eylau

Le patrouilleur Eylau constitue l'épine dorsale de l'Amirauté. Les chantiers Michel-Corp l'ayant doté d'un armement lourd, axé autour de 2 Railguns électro-magnétiques. Il dispose en outre d'un blindage espacé, et d'un système de leurrage permettant de ne craindre aucun armement guidé moderne. Tout ceci a un coût en termes de masse, puisqu'il affiche 12 500 T en ordre de combat. Il reste cependant bien plus rapide que le Marengo.

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#3

Flo

    Captain Lorraine

  • Capitaine

Posté 14 janvier 2017 - 10:48

Beau boulot ! :gg:
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#4

White-sky

    Nobilium vulgari

  • Lieutenant Colonel
  • Moniteur KA-50

Posté 14 janvier 2017 - 10:52

Le successeur du Richelieu : Le cuirassé Iena.

Succéder au Richelieu tout en égalant ses performances n'était pas une mince affaire. Mais les chantiers Michel-Corp ont su capitaliser sur leurs acquis des bâtiments Marengo, Wagram, et Eylau, pour finalement produire le Iena. Affichant une masse plus contenue que son prédecesseur, avec "seulement" 70 000 T, il possède en revanche une puissance de feu nettement accrue, avec un double RailGun par gravité à répétition de 180 G, tirant 2 ogives de 350 T toutes les 5 secondes. Il dispose en sus de la propulsion par gravité, ce qui lui permet de battre le record de la flotte en termes de vitesse avec un passage de 0 à 100m/s en 3 secondes. L'ensemble de l'appareil est redondant, outre un CIC principal, on trouve un CIC secondaire, une infirmerie, une armurerie, les quartiers de l'équipage, et même un centre d'enregistrement des migrants en période de crise humanitaire. Véritable vaisseau de demain, le Cuirassé Iena embarque également une artillerie de pont de premier ordre, et dispose d'une capacité d'atterrissage sur planète où la pesanteur de dépasse pas 0.75G. En dépit de sa masse moindre, son blindage espacé de nouvelle génération lui assure une résistance supérieure aux impacts par rapport au Richelieu. Le seul point négatif est qu'il lui faille compter sur le porte-astronef Essling (actuellement en construction) pour se doter d'une véritable escorte d'appareils légers, lui ne disposant que de 2 places en soute.

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L'entrée sur le marché civil : l'explorateur scientifique Moskova

Le Moskova est le premier bâtiment dédié à un usage entièrement civil, produit par les chantiers Michel-Corp. Il dispose d'un hangar de 3 places, de 2 raffineries (même modèles que sur le Iena) et 2 assembleurs. Axé sur un duo de propulsion nucléaire et par hydrogène, cet appareil est extrêmement polyvalent. Il est possible pour une somme modique de lui adjoindre un train d'atterrissage escamotable, ce qui permet alors de se poser sur une planète. Il dispose en outre d'un système de récupération de l'énergie solaire lui permettant de fonctionner sans interruption sur ses batteries lorsque sa propulsion est désactivée. Cet appareil allie fonctionnalité, élégance, et luxe d'intérieur, avec notamment un robot cuisinier primé au guide Michelax.

Il est également capable d'accueillir 2 hélicoptères EC-41.

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Allez, dites vous que je vous emmerde plus avant 2 ans ! :ptdr:
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